Global Forest Watch (GFW) organise deux webinaires ce mois de mai

Forest Watcher: Making Forest Monitoring Easier and More Effective
May 25 at 9:00 AM EDT / 2:00 PM WAT / 8:00 PM WIB

Une démonstration des dernières fonctionnalités de Forest Watcher ,les applications mobiles et Web Forest Watcher pour des enquêtes sur le terrain à l’aide des alertes de déforestation et d’incendie de GFW. Les utilisateurs de Forest Watcher vous expliqueront également comment ils ont utilisé l’outil de surveillance des forêts, y compris les meilleures pratiques et les leçons apprises.

Ce webinaire sera organisé en anglais avec traduction simultanée en espagnol, portugais, français et bahasa Indonesia.

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Global Forest Watch Voices: Women Changemakers in Forest Monitoring
​​​​​​May 31 at 9:00 AM EDT / 2:00 PM WAT / 8:00 PM WIB

Dans le cadre de la nouvelle série GFW Voices,  vous êtes invités à suivre la discussion virtuelle pour entendre les femmes actrices du changement de la communauté GFW qui utilisent des données pour avoir un impact sur la surveillance et la protection des forêts en Amérique latine, en Asie du Sud-Est et en Afrique de l’Ouest. Les panélistes réfléchiront à la façon dont l’accès aux données et à la technologie comme GFW a eu un impact sur la vie des personnes dans les communautés qui dépendent des forêts.

Ce webinaire sera organisé en anglais avec traduction simultanée en espagnol et en français.

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Le 22 janvier 2023, Sylvie Gourlet-Fleury nous quittait. Le Comité Scientifique et Technique forêt se joint à moi pour lui rendre, par ces quelques mots, un dernier hommage, qui n’efface en rien la peine qui nous étreint.

Docteure et chercheuse spécialisée en écologie forestière tropicale, Sylvie Gourlet-Fleury travaillait au CIRAD (Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement) et a contribué, des forêts guyanaises à celles d’Afrique centrale, à apporter au monde académique et aux gestionnaires forestiers, une bien meilleure compréhension de ces forêts, à travers de nombreuses publications de portée internationale relatives à la modélisation de la dynamique des forêts denses humides. La qualité et la passion avec lesquelles elle restituait ses travaux nous permettent aujourd’hui de mieux appréhender leurs modes de fonctionnement et d’en prédire leurs évolutions possibles dans le contexte du changement climatique.

C’est également sur les fondations qu’elle a bâties que nous pouvons, aujourd’hui, asseoir les règles de l’exploitation forestière tendant vers une plus grande durabilité.

Sylvie a conduit les premiers travaux scientifiques du site de référence pour la recherche dans le bassin du Congo, la station de M’Baïki en République Centrafricaine. Il est l’un des rares sites forestiers d’Afrique centrale permettant de collecter sur le long terme des données sur les écosystèmes et l’impact de l’exploitation forestière. Elle a soutenu M’Baïki sans relâche malgré les multiples difficultés à y travailler. Elle restera pour beaucoup d’entre nous indissociable de cette station forestière et de la passion qu’elle a su transmettre à des générations de chercheures et chercheurs de la région. L’amour qu’ils lui témoignent aujourd’hui à travers leurs nombreux hommages nous touche à tous. Sylvie était de celles et ceux qui transmettent pour le bien commun, de celles et ceux qui luttent pour des causes justes et universelles, généreusement, sans rien attendre en retour que le courage de ceux qui, à présent, savent grâce à elle.

Je garde en mémoire son plaidoyer pour que se perpétuent ses travaux et que d’autres sites équivalents à M’Baïki s’implantent dans le bassin du Congo, permettant de comparer la diversité des dynamiques forestières. Cela reste à faire et son souvenir nous oblige.

Pour ton infatigable enthousiasme et ta ténacité à défendre nos valeurs, pour ta rigueur scientifique et la patience grâce à laquelle tu as su nous faire partager tes savoirs sur les forêts du bassin du Congo, je te remercie Sylvie à tout jamais.

Toutes mes pensées vont à sa famille en cette période douloureuse et qui nous réunit.

Paris, le 24 janvier 2023

Christophe du Castel (AFD) 

 

Afin de mettre en place la Stratégie Nationale de lutte contre la Déforestation Importée (SNDI) de la France, le Comité Scientifique et Technique de la Forêt (CSTF) souhaitait (i) disposer de définitions de certains concepts clés liés à cette politique qui soient politiquement, techniquement et financièrement acceptables et (ii) connaître les différents outils disponibles pour suivre la déforestation importée.

 » Le présent rapport présente la synthèse des travaux menés dans le cadre du « chantier 1 » du CSTF et répondant à ces objectifs.

L’étude a été confiée à un consortium animé par le Centre pour la Recherche Forestière Internationale (CIFOR) travaillant avec le Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) et l’Institut pour le Développement Durable et les Relations Internationales (IDDRI), avec des contributions importants de l’IRD.

L’étude comporte un comité de suivi qui donne des appuis techniques et scientifiques au consortium, et avis autorisés sur les produits obtenus. Le comité de pilotage du CSTF prend les décisions clefs relatives à l’avancement de l’étude tout au long de sa mise en œuvre.

Les définitons

« …Concernant le terme de « forêt », il a été constaté que celui-ci est défini essentiellement en fonction d’un pourcentage de couvert forestier sur une surface donnée. On notera des variations importantes dans les définitions nationales existantes.

Le présent rapport montre également qu’il semble complexe de proposer des définitions uniques pour les notions de « déforestation » et de « dégradation ». En effet, les définitions de ces notions vont varier en fonction de la définition retenue de la notion de « Forêt » ainsi que des cadres légaux nationaux encadrant la gestion de ces forêts. Il est ainsi conclu de ce travail que :

  • L’adoption d’approches régionales incluant des aspects écologiques comme socio-politiques seraient les plus à même de fixer ces définitions.
  • La prise en compte des types de commodités dans les définitions pourrait faciliter le suivi des notions de déforestation ou de dégradation.
  • Le caractère légal ou illégal de la déforestation ou de la dégradation ne suffit pas pour mettre en place une politique cohérente de lutte contre la déforestation importée. Néanmoins, il sera difficile d’écarter totalement cette notion au risque d’interférer avec les processus de développement des pays producteurs.

Les outils de suivi de la déforestation

Enfin, le travail mené montre un lien de dépendance entre le choix des définitions de la déforestation et de la dégradation et les outils de suivi, ceux-ci étant « uniquement » les garants de l’opérationnalisation d’un cadre de définition. Les outils déjà disponibles au niveau global (FAO, JRC, GFW-WRI) ont la capacité de mesurer des changements, régionaux, nationaux voire au sein de grandes zones écologiques…. »

 

Coordination: Richard Eba’a Atyi

Rédaction: CIFOR: Richard Eba’a Atyi, Liboum Mbonayem, Denis Jean Sonwa; CIRAD: Sylvie Gourlet-Fleury, Ghislain Vieilledent, Philippe Guizol, Inès Marchais; Le Mans Université: Richard Sufo Kankeu; FAO: Remi Dannunzio; IDDRI: Frédéric Amiel; IRD: Pierre Couteron

Il s’agit d’un rapport  qui nécessite  d’une validation collective de la part de membres du CSTF. Ne hésitez pas à nous envoyer vos commentaires en pied de page.

La High Carbon Stock Approach (HCSA) est une méthodologie pratique qui permet de différencier les zones forestières à protéger (possédant notamment de hauts stocks de carbone) des terres dégradées qui peuvent, elles, être « développées » (à condition, bien sûr, que la conversion de ces terres soir légale).

Le potentiel de l’Approche High Carbon Stock dans les stratégies de lutte contre la déforestation importée

L’initiative High Carbon Stock (HCS), soutenue par différentes ONG et développée initialement en Indonésie, propose de définir des critères (stock de C par ha, mais aussi biodiversité et importance socio-culturelle de la zone pour les populations locales) par biomes, critères qui seraient élaborés avec différentes « parties prenantes » travaillant dans les pays concernés. Cette approche pourrait ainsi être utile pour qualifier la conversion des écosystèmes non-forestiers, comme les cerrados (savanes plus ou moins boisées) du Brésil, voire pour qualifier certains niveaux de dégradation des forêts jugés problématiques pour les services écosystémiques. Le processus à ambition « inclusive » pourrait conférer à cette approche une certaine légitimité et être utilisée par les standards de certification désireux d’inclure des critères « zéro déforestation » ou « zéro conversion » à leurs référentiels, ou être utilisés directement par les États-membres pour prescrire aux importateurs des règles pour l’importation des produits à risque.

Créée à la suite d’une campagne Greenpeace dénonçant les pratiques d’approvisionnement en huile de palme de Nestlé, cette approche a pour objectif de donner une méthodologie pratique, transparente et robuste scientifiquement pour mettre en œuvre les engagements visant à mettre un terme à la déforestation. Aujourd’hui, HCSA est reconnue par le PNUE comme un « outil de mise en œuvre du principe de non-déforestation »[1]

L’approche HCS apporte des solutions pragmatiques pour aborder la problématique zéro-déforestation face à la diversité des biomes et des écosystèmes. Elle est mobilisée directement en tant que « standard » par des entreprises qui mettent en œuvre des politiques zéro-déforestation, et elle apporte aux certifications indépendantes qui le souhaitent une méthodologie complète qui renforce la crédibilité de ces standards sur le zéro-déforestation. Ses principales limites sont sa couverture géographique encore restreinte et son rythme de déploiement qui semble insuffisant au regard des attentes des politiques publiques (arrêter la déforestation en 2030). Des appuis institutionnels publics pourraient sans doute lui permettre de dépasser ces limites.

[1] High Carbon Stock Approach, 2020. HCS Approach Annual Report 2019. Disponible ici : http://highcarbonstock.org/wp-content/uploads/2020/04/HCSA-Annual-Report-2019_Final.pdf

N’hésitez pas à nous envoyer vos commentaires (espace en pied de page)

Un des résultats du Chantier "Définitions et outils de suivi de la déforestation importée" est la production collective d'une Note de politique disponible dans le 1er. numéro de Notes de Politique du Comité Forêt

Définir la forêt pour mieux lutter contre la déforestation importée 

Définir les termes « forêt », « déforestation » et « dégradation des forêts », est un préalable incontournable dans la conception et la mise en œuvre de toute stratégie visant à éliminer la déforestation importée. Cette définition doit s’adapter à la diversité des contextes écologiques rencontrés, et aux outils de suivi disponibles

Préparée par :  Richard Eba’a Atyi (CIFOR), Sylvie Gourlet-Fleury (CIRAD), Richard Sufo (Université Le Mans), Frederic Amiel (IDDRI), Philippe Guizol (CIRAD), Pierre Couteron (IRD),

Cette Note de Politique – la première produite par le CST-Forêt –  est le produit final du premier chantier lancé par le CST et co-animé par le CIFOR, le CIRAD et l’IRD.

Elle analyse les différentes définitions de la forêt, les outils de suivi disponibles, et leurs  conséquences sur la mesure de la déforestation importée.

Ses principales recommandations :

  • L’harmonisation de la définition des forêts  à l’échelle mondiale, en proposant des seuils adaptés aux zones écologiques est une priorité.
  • La définition de la déforestation basée sur la couverture végétale (land cover) devrait être adopté par tous les pays
  • En matière de suivi de la déforestation, s’appuyer simultanément sur des approches déployable rapidement et mondialement, tout en améliorant des techniques de suivi satellitaire plus pointues pour certaines commodités
  • Adopter le concept de déforestation brute est justifié, sans négliger les incitations aux efforts de reboisements ou de réhabilitation des écosystèmes.
  • Limiter la déforestation légale pose des questions de respect de la souveraineté des États pour limiter cette déforestation et s’orienter vers une agriculture « zéro-déforestation brute.

Définir les termes « forêt », « déforestation » et « dégradation des forêts », est un préalable incontournable dans la conception et la mise en œuvre de toute stratégie visant à éliminer la déforestation importée. Cette définition doit s’adapter à la diversité des contextes écologiques rencontrés, et aux outils de suivi disponibles.

Définir la forêt pour mieux lutter contre la déforestation importée 

Cette Note de Politique – la première produite par le CST-Forêt –  est le produit final du premier chantier lancé par le CST et co-animé par le CIFOR, le CIRAD et l’IRD.

Elle analyse les différentes définitions de la forêt, les outils de suivi disponibles, et leurs  conséquences sur la mesure de la déforestation importée.

Ses principales recommandations :

  • L’harmonisation de la définition des forêts  à l’échelle mondiale, en proposant des seuils adaptés aux zones écologiques est une priorité.
  • La définition de la déforestation basée sur la couverture végétale (land cover) devrait être adopté par tous les pays
  • En matière de suivi de la déforestation, s’appuyer simultanément sur des approches déployable rapidement et mondialement, tout en améliorant des techniques de suivi satellitaire plus pointues pour certaines commodités
  • Adopter le concept de déforestation brute est justifié, sans négliger les incitations aux efforts de reboisements ou de réhabilitation des écosystèmes.
  • Limiter la déforestation légale pose des questions de respect de la souveraineté des États pour limiter cette déforestation et s’orienter vers une agriculture « zéro-déforestation brute.

Préparée par :  Richard Eba’a Atyi (CIFOR), Sylvie Gourlet-Fleury (CIRAD), Richard Sufo (Université Le Mans), Frederic Amiel (IDDRI), Philippe Guizol (CIRAD), Pierre Couteron (IRD).

 

La réunion du 28 janvier 2021 a présenté les conclusions finales du chantier d’étude « Définitions & Outils de suivi de la déforestation importée » piloté par le CIFOR, avec les contributions du Cirad et de l’IRD.

En décembre 2019, le CST Forêt identifiait ce premier chantier. Les membres du Comité Forêt ont estimé qu’une clarification des concepts associés à la déforestation et de leur portée sur son suivi était un prérequis pour l’intégration de l’objectif zéro déforestation dans les schémas de certification ou dans le méta-label envisagé par la SNDI.

Sur la base d’un état de l’art des définitions utilisées et d’un benchmark des outils de suivi à différentes échelles (territoires et filières), des propositions de définitions opérationnelles ont été formulées dans le cadre de cette étude. Elles étaient censées répondre aux objectifs de la SNDI et s’intégrer aussi bien dans les dispositifs de certification que dans des mécanismes de gestion des risques. Dans l’esprit du Comité Forêt, il s’agissait de disposer de définitions nationales, écologiques, telles qu’elles existent, en faisant l’hypothèse que cela nous permettrait de formuler des définitions opérationnelles auprès de la SNDI.

Les différentes étapes ont démontré que l’exercice n’était pas si simple et que nous devions répondre à quelques questions majeures avant d’aboutir à des définitions réellement opérationnelles.

  • La réunion du 28 janvier 2021 a présenté les conclusions finales du chantier d’étude « Définitions & outils de suivi de la déforestation importée » piloté par le Cifor (Richard Eba’a Atyi), avec les contributions du Cirad et de l’IRD, à la lumière des résultats des travaux complémentaires réalisées depuis juin 2020.
  • La présentation et la discussion des suites à donner à cette étude bibliographique, étant entendu qu’aucune des définitions analysées n’est véritablement opérationnelle pour le suivi de la mise en œuvre de la SNDI.
  • Ces propositions ont permis de définir les contours d’un travail exploratoire pour la définition d’un futur chantier. Des termes de référence ont par ailleurs été préparés par le Secrétariat du CST Forêt pour produire un Policy Brief.

Global Forest Watch (GFW) est une plateforme en ligne qui met à disposition des données et des outils de suivi des forêts. Grâce à une technologie de pointe, GFW permet à chacun d'accéder à des informations en temps quasi-réel afin de savoir où et comment les forêts du monde entier évoluent.

Des milliers de personnes dans le monde entier utilisent Global Forest Watch (GFW) au quotidien pour suivre et gérer les forêts, lutter contre la déforestation illégale et les incendies, condamner les activités non durables, défendre leurs terres et leurs ressources, se procurer des biens de manière durable ainsi que pour mener des recherches inédites en matière de conservation.

Le site offre l’accès à l’information d’experts et non experts pour visualiser les changements dans la forêt au travers de cartes et de tableaux, d’une veille des forêts, à travers le Map Builder et le GFW Pro.

Les thèmes abordés sont la biodiversité, le climat, matières primaires, eau et le feu.

Que pouvez-vous faire avec Global Forest Watch?

Vous pouvez recevoir des alertes hebdomadaires concernant la déforestation. Ces alertes indiquent où la perte de couverture arborée se produit en temps réel dans les Tropiques.

Le blog GFW vous permet également de rester informé.e sur les actualités de la forêt en suivant les articles rédigés par leur équipe de chercheur.e.s.

Suivre les actions du GFW sur : https://www.globalforestwatch.org

Voici les présentations des conclusions de l'étude "Définitions et outils de suivi de la déforestation importée"(en version pdf). Une deuxième présentation vous êtes proposée avec des éléments de termes de référence d’un travail exploratoire pour la définition d’un futur chantier.

La réunion  webinaire du 28 janvier 2021

Cette réunion dédiée au chantier No. 1 a été décomposée en deux étapes:

  • Les conclusions de l’étude

La présentation des conclusions finales de l’étude « Définitions & Outils de suivi de la déforestation importée »  à la lumière des résultats des travaux complémentaires réalisées depuis juin dernier.

  • La suite possible par un Policy Brief

Une deuxième partie de la réunion a été dédiée à la  la discussion des suites à donner à cette étude bibliographique, étant entendu qu’aucune des définitions analysées n’est véritablement opérationnelle pour le suivi de la mise en œuvre de la SNDI.

Les présentations en version pdf. sont à disposition en pièce jointes pour les membres.

Le Rapport provisoire de l'étude "Définitions et Outils de suivi de la déforestation importée" et ses annexes sont accessibles à partir de cette page.

Le 28 janvier 2021, l’équipe du chantier piloté par le Cifor (Richard Eba’a Atyi) a présenté les conclusions finales de l’étude « Définitions & outils de suivi de la déforestation importée », avec les contributions du Cirad et de l’IRD et à la lumière des résultats des travaux complémentaires réalisées depuis juin dernier.

Le Rapport provisoire

Le livrable final n’a pas encore été produit.  Les discussions et l’intégration des observations complémentaires contribueront à la finalisation du rapport et de ses conclusions qui seront adressées au comité de pilotage de la SNDI.

La dernière version du rapport provisoire est disponible en pièces jointes (corps du texte en PDF et répertoire d’annexes). En attendant la version finale, nous vous prions de ne pas diffuser ce rapport provisoire. N’hésitez pas si vous le souhaitez à nous faire part de vos commentaires et de vos observations.

Sont également mis ici à votre disposition les diaporamas en version pdf présentés pendant la réunion de restitution du 28 janvier 2021.